Et si, pour réserver, on jouait !

Commentaires:

Je viens de faire ma première partie du jeu Shakespeare. En passant, moi et mes enfants avons beaucoup aimé. Le thème est agréable. Les règles ne sont pas compliquées et il y a bien des moyens d'arriver à ses fins. Il y a de l'opportunisme et le décompte des points peut être serré. Bref, une petite perle. Mais ce n'est pas de cela dont je veux vous parler.

La première phase du tour est une phase de mise. On a chacun 5 pions d'actions utilisables dans la phase suivante mais on peut en sacrifier pour tenter de jouer avant les autres (et pour obtenir un point si on arrive à être le premier). Il faut donc faire un compromis entre jouer tôt et jouer longtemps.

Sur coludik, on pourrait imaginer un système identique où l'accès à un jeu co-acheté est facilité par la dépense de quelque chose. Le pré-requis de ce système est que tout le monde doit co-acheter le jeu à la même hauteur de coût pour qu'un système de mise soit le seul à organiser les réservations. Deux choses me viennent à l'esprit pour le "quelque chose" mentionné:

  1. L'équivalent direct de l'action dépensée à Shakespeare est ici le jour dépensé. En sacrifiant des jours de réservation, on s'assure de jouer le plus rapidement possible. La contrepartie est qu'on y jouera moins longtemps que permis théoriquement.
  2. Pour varier les possibilités, un jour dépensé pourrait être remplacé par un point Ludik (je n'en ai pas encore parlé mais il y aura des points à récupérer et à dépenser sur coludik). Ainsi, on pourrait faire un mix de jours et de points. Les membres actifs de la plateforme qui auraient donc plus de points se verraient récompenser par ce genre de système.

Comme à Shakespeare, celui ayant misé le plus, et jouant donc en premier, se verrait aussi redonner un point Ludik pour compenser sa dépense.

Qui aurait cru que coludik pourrait aussi être ludique ?

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